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Devoir de Mémoire – Abraham Petrovitch Hanibal 1696-1781 : Kamerunien à la cour de Russie, il était le fils du prince Kamerunien Brouha de Logone, près du lac Tchad, (Capturé en 1703 par des négriers et amené à Istanbul, en Turquie, il fut acheté clandestinement par un diplomate russe pour le compte du Tsar Pierre le Grand); « Qui voulait expérimenter sur les capacités intellectuelles d’un enfant Noir/Africain, il devint le fils adoptif puis le collaborateur du Tsar; il fut envoyé à Paris en 1717 pour continuer son éducation dans les arts et la guerre »

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Ses origines restent incertaines : les premiers écrits sur Abraham Hannibal suggèrent qu’il serait né en 1696 dans un village appelé Lagon, capitale d’une province
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Devoir de Mémoire – Un nom ou un prénom étranger porte en lui les germes de l’acculturation : Il faut donc réhabiliter nos noms et surtout nos prénoms endogènes, (quel Indo-Européen portent nos prénoms Noirs/Africains ?); « Le léopard ne change pas ses taches; le mensonge donne des fleurs, mais pas de fruits chers frères et sœurs Noirs/Africains »

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L’un des plus beaux cadeaux que la vie nous ait fait, c’est lorsque notre prénom sonne comme un mot Africain : Ma tendre Afrique, ton
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Devoir de Mémoire – Amiri Baraka, également connu sous le nom de LeRoi Jones et Imamu Amear Baraka : Né le 7 octobre 1934 et décédé le 9 janvier 2014, était un écrivain et poète de théâtre, de fiction, d’essais et de critique de cinéma et de musique (il était l’auteur de nombreux recueils de poésie et a enseigné dans plusieurs universités, dont l’Université d’État de New York à Buffalo et l’Université d’État de New York à Stony Brook); « Il a reçu le prix PEN/Beyond Margins en 2008 pour Tales of the Out and the Gone »

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La carrière de Baraka s’est étendue sur près de 52 ans et ses thèmes allaient de la libération des Noirs/Africains au racisme des Blancs/Occidentaux. Certains
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Devoir de Mémoire : Les enfants Blancs et Asiatiques, chantant (Je suis Noir et je suis fier, de James Brown); « Brown utilise ici un format d’appel et de réponse qui est enraciné dans la tradition spirituelle et évangélique Noire, quelque chose qu’il connaissait en grandissant dans le Sud Jim Crow des années 1930 » … (AUDIO)

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Brown lance l’appel en disant (dites-le fort), et un grand chœur d’enfants répond en disant (je suis Noir et je suis fier). Curieusement, cependant, les
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La beauté Noire/Africaine : Naomi Campbell est une Afro-Britannique, sa mère est d’origine jamaïcaine : Campbell est née à Londres le 22 mai 1970, remarquée dans la rue par une Bookeuse, elle débute à 15 ans une carrière de mannequin qui fera d’elle l’une des supermodels les plus connues des années 90); « Naomi Campbell a fait la couverture de plus de 500 magazines, dont certains n’avaient jamais donné la vedette à une Afro-descendante, elle aurait été proche du prince Albert de Monaco »

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La beauté Noire/Africaine est une beauté qui prend ses responsabilités, personne n’est tombé du ciel, tout le monde a une famille, tout le monde est
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Devoir de Mémoire – Il était une fois Thomas Sankara au FESPACO, nous en 1985 à l’occasion du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou FESPACO : L’ancien président burkinabè Thomas Sankara, paix à son âme, y brillait par sa présence, (Sankara, un mode de vie, une gouvernance, un anti-impérialisme, un anticolonialisme, un panafricanisme, une indépendance totale, un self-care, une histoire, une vie inspirante à jamais); « Sankara reste une légende incontournable, une figure emblématique de la résistance et de la dignité du peuple Noir/Africain, (on peut y voir le président Sankara bien entouré des artistes Miriam Makeba d’Afrique du Sud, Tshala Mwana du Kongo, Georges Ouédraogo du Burkina Faso, Nayanka Bell de Côte d’Ivoire, Nahwawa Doumbia de Guinée et d’autres) »  

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La chaleur panafricaine de Sankara avait alors réchauffé les différentes personnalités Noires/Africaines qui prenaient part à ce festival. Pour montrer combien Sankara était non seulement