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Devoir de mémoire – restaurons l’histoire : une vérité qui risque de bouleverser le paradigme de plusieurs sciences occidentalisées, le peuple Melungeon des (Montagnes Appalaches) est la preuve d’une migration Noire/Africaine avant l’esclavage aux États-Unis, et qui laisse croire, que les Noirs/Africains ont découvert l’Amérique et y vivaient avant l’arrivée de Christophe Colomb, à qui l’on attribue faussement la découverte de ce Nouveau Monde; « Le peuple Melungeon est la preuve de la migration pré-esclavagiste des Noirs/Africains vers les États-Unis au fil des ans, des affirmations diverses et variées ont été faites sur les origines de ce peuple Noir appelé péjorativement les Melungeons »

Selon les spéculations, disent qu’ils descendent d’explorateurs portugais, ou peut-être d’esclaves ou de gitans turcs. Mais une nouvelle étude ADN publiée dans (le Journal of Genetic Genealogy) a révélé que des familles historiquement appelées Melungeons descendaient d’hommes d’Afrique subsaharienne et de femmes blanches d’Europe centrale et du Nord. « Les chercheurs qui ont mené cette étude relèvent que les Noirs/Africains ont épousé des femmes nordiques bien avant l’esclavage. Une autre preuve est le fait que pendant l’esclavage, il était interdit aux Noirs/Africains d’épouser des femmes blanches ».

La lignée masculine sub-saharienne évoquée dans cette recherche est très intéressante car elle prouve que chez les Melungeons, l’ADN d’origine sub-saharienne est exclusivement masculin. Beaucoup soupçonnent que ces hommes Noirs/Africains seraient venus de l’empire du Mali vers le XVe siècle, envoyés par le monarque malien Kanga Moussa pour conquérir de nouvelles terres. « L’autre thèse à explorer est celle du professeur Van Sertimas qui place l’arrivée des Noirs/Africains en Amérique durant la période précolombienne bien avant l’ère chrétienne. La découverte du crâne de Luzia dans une grotte au Brésil conforte cette thèse d’une migration Noire/Africaine vers les Amériques il y a plus de 30 000 ans. Après la reconstitution de son faciès, elle présente une ressemblance frappante avec les Noirs/Africains subsahariens » .

Cette vérité tarde à se répandre car la communauté scientifique a peur de bouleverser les conceptions politiques actuellement connues. Certains conçoivent très mal que les Noirs/Africains subsahariens puissent, aux époques les plus reculées, maîtriser la navigation pour traverser les mers.

l’histoire

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