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Devoir de mémoire : trois problèmes majeurs que les Noirs/Africains doivent résoudre pour retrouver leur grandeur d’Antan ! La situation des Noirs/Africains n’est pas une fatalité, leur destin n’est pas une question de destin inexorable; il leur suffit de restaurer les contacts perdus pour se libérer; « 1. Les Noirs/Africains ont perdu le contact avec leurs ancêtres; 2. Les Noirs/Africains ont perdu contact avec la nature; 3. Les Noirs/Africains ont perdu contact avec eux-mêmes »

Les Noirs/Africains n’ont pas le temps d’attendre pour corriger ces problèmes. Leur bien-être spirituel et émotionnel en dépend. Concernant les femmes en particulier : Les femmes Noires/Africaines doivent se rappeler qu’elles ont toujours été des déesses respectées (pour leur force, leur imagination, leur détermination et leur abnégation). « Autrefois, c’était vers elles qu’on se tournait pour prendre les grandes décisions parce qu’elles avaient une place à part dans la société, mais aujourd’hui, on les voile, on les manipule, on les relègue au second plan ».

Elles ont perdu confiance en elles-mêmes. Elles remplissent les églises et les mosquées, grossissant les rangs des esclaves de maison. Elles sont dépouillés et pillés. Nous les exploitons. Elles sont liés à la mode et au modernisme Occidental. Elles ont perdu les notions fondamentales de leur culture et de leurs traditions. Elles veulent se déguiser pour apparaître, au lieu d’être le centre d’attention. Elles remettent tout à Jésus et à Mohamed. Ces derniers sont leurs maris, eux-mêmes qui ont pourtant cocu les guides religieux (pasteurs, prêtres catholiques, Imams; Etc).

Aujourd’hui, elles sont à peine informés. Elles sont devenus adeptes de l’art de traiter les membres de leur famille comme des sorciers et des démons, comme on l’enseigne dans les églises et les mosquées. Beaucoup ont perdu espoir et sont les acteurs de la division des familles : Hélas ! Pourtant, la femme Noire/Africaine est une étoile brillante et filante.

De nombreuses femmes Noires/Africaines croient que garder leur teint et leurs cheveux naturels est un signe de pauvreté et de non-civilisation. Pour prétendre démontrer leur réussite et leur beauté, elles se sentent obligés de se brûler les cheveux ou la peau. La nouvelle génération est attirée par le gain facile de son état d’esprit en général. Non, cela doit changer.

La femme Noire/Africaine est naturellement belle et précieuse en tout et en tout. Elle n’a rien à envier aux femmes des autres races. C’est l’unité de mesure qui, une fois qu’elle en aura pris conscience, changera radicalement sa société et le monde entier.

Trois

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