KONGOLISOLO
Devoir de Mémoire – Fela Aníkúlápó Kútì, né Olufela Olusegun Oludotun Ransome-Kuti, le 15 octobre 1938 et décédé le 2 août 1997, était un musicien Nigérian considéré comme le roi de l’Afrobeat; il disait : Un homme doit épouser plusieurs femmes car un homme a besoin de plusieurs femmes (célèbre pour avoir épousé vingt-sept femmes le même jour lors d’une cérémonie vaudou); « Il semblerait que lesdites épouses faisaient partie de sa troupe, il les aurait épousées pour faciliter leur voyage en visa, lors des tournées »
Devoir de Mémoire – Le caractère secret et sacré de la conception : La grossesse, à savoir la préparation à l’arrivée d’un être humain sur terre, est tellement sacrée qu’il est tabou d’en parler en Afrique, (pourquoi l’information de la conception est-elle gardée secrète dans nos traditions Noires/Africaines ?); « On n’en parle que lorsque c’est apparent; beaucoup, par ignorance, ne se rendent pas compte des dangers auxquels l’embryon fait face en dévoilant l’information de la conception »
Devoir de Mémoire – Kenya : Le village d’Umoja, au nord du Kenya, est habité uniquement par des femmes Noires/Africaines; les hommes y sont interdits, il est réservé uniquement aux femmes Noires/Africaines, là où les contreforts du Mont Kenya se fondent dans le désert; « Pendant la colonisation britannique au Kenya, de nombreuses femmes Noires/Africaines ont été violées par des soldats, surtout dans le nord du pays; cela était considéré comme une honte pour leur communauté, (leurs maris respectifs les battaient et les répudiaient pour les punir de cette insulte) » … (VIDÉO)

Mariage africain

Devoir de Mémoire – Culture Yoruba : faut-il continuer à célébrer le mariage d’Ogun et Osun ? Comme vous l’avez peut-être remarqué, de nombreux Orisas sont tous mariés à des moments différents; (il s’agit moins du concept humain du mariage que de l’union de phénomènes divins particuliers); « L’union d’Ogun et Osun est l’un des mariages les moins explorés de l’un ou l’autre de ces deux Orisas, mais il est essentiel dans l’IFA (spiritualité scientifique Yoruba) »

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Devoir de Mémoire – Kongo : Baluba, le sens de (Tshibawu) ou culpabilité et ses conséquences sur le contrevenant, dans la culture Luba, si le verdict sur l’adultère ou (Tshibindi) est impitoyable, il existe néanmoins une jurisprudence, (nos ancêtres ne sont pas des monstres insensibles et impitoyables, leur souci constant est la cohésion, la stabilité, la paix dans les familles); « Dans la gestion d’une situation d’adultère, chez les Luba, il existe un couloir étroit de pardon et de nouvel engagement pour une femme adultère, (l’établissement de ce couloir de pardon est strictement réglementé) »

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Devoir de Mémoire – Donga : l’art martial Nègre des vaillants guerriers, Surma d’Éthiopie; c’est une lutte traditionnelle Noire/Africaine d’origine éthiopienne; (l’un des principes de cette lutte est que personne ne perd, personne n’est jamais vaincu, personne n’est vainqueur); « Dans cet art Noir/Africain, seul compte le combat, la joute entre les deux combattants; (les cicatrices reçues symbolisent l’héroïsme de leur porteur et qu’il est prêt à donner sa vie pour ses proches, pour son peuple) » … (VIDÉO)

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Devoir de Mémoire : la femme dans la société Kongolaise, dans l’ancien Kongo, le mariage n’entraîne pas la perte de son identité clanique qui reste transmissible à ses enfants, (le mariage est un Libota, un espace de procréation l’homme a la jouissance de la femme il s’est marié en échange d’une dot pour compenser son départ, mais les enfants sont issus du clan de sa femme, et l’oncle maternel peut, au nom de son pouvoir avunculaire, venir prendre un neveu pour vivre avec lui, et faire un homme de lui); « La transmission de l’héritage d’un (décédé) pose souvent des problèmes car les Kongolais modernes sont désormais coincés entre la tradition et le droit moderne qui exige qu’un (Libota) soit une famille à part entière »

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Devoir de Mémoire : Le vrai sens de la dot dans la tradition Noire/Africaine est déformé, la dot dépend d’une culture à l’autre, dans certaines cultures, c’est la femme qui apporte la dot, (la dot elle-même étant définie par le dictionnaire comme étant ce qu’une femme apporte dans le mariage ou dans une communauté religieuse); « Beaucoup disent qu’en Inde, il existe plusieurs tribus où c’est la femme qui apporte la dot à l’homme, mais en Afrique, c’est généralement le mari qui apporte la dot à la femme; dernièrement, le sens de la dot est détourné dans plusieurs tribus, notamment dans les grandes villes »

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