Ces préservatifs, fabriqués à partir de membranes intestinales de mouton, étaient principalement utilisés contre les maladies infectieuses. Le préservatif de l’Afrique/Égypte antique était alors fabriqué à partir (de lin coloré, imbibé d’huile d’olive). C’est un signe que les Noirs/Africains/Égyptiens étaient déjà familiarisés avec les méthodes contraceptives.
Aujourd’hui, pour éviter une grossesse, on utilise couramment la pilule contraceptive, composée d’hormones (œstrogènes) censées inhiber une partie du cerveau (le complexe hypothalamo-hypophysaire), et ainsi empêcher le développement d’un fœtus, en réduisant la poudre de pépins de grenade, les contraceptifs ont été fabriqués à partir de cire de petits cônes. En effet, le fruit de la grenade contient des œstrogènes naturels.
Les anciens Noirs/Africains/Égyptiens semblaient l’avoir compris, car ils utilisaient des pilules artisanales. Les Noirs/Africains/Égyptiens utilisaient aussi des crèmes comparables à nos spermicides actuels; mélangées à du miel, des dattes ou d’autres substances, des excréments de crocodile ou d’éléphant, ils étaient régulièrement utilisées dans des pommades et onguents prescrits. Cela fait presque 3 800 ans que les médecins Noirs/Africains/Égyptiens ont commencé à pratiquer cela.
Leur fermentation en faisait d’excellents spermicides – les pyramides sont donc loin d’être les seules traces de l’ultra-modernité de ce formidable peuple d’Afrique/Égypte ancienne, et comme c’est souvent le cas, nous avons amélioré les techniques existantes plus que nous n’en avons inventé de nouvelles.