KONGOLISOLO
Actualité

Devoir de Mémoire : Pour tous ceux qui se demandent s’il existe des planètes habitées par des êtres semblables ou différents de nous ? Voici un article sur le crash d’un OVNI à Roswell au Nouveau-Mexique en 1947, (le soir du 2 juillet 1947, des témoins ont vu un disque traverser le ciel puis exploser partiellement au-dessus d’un ranch près de Roswell au Nouveau-Mexique); « Le 8 juillet, l’armée a publié un communiqué affirmant qu’elle détenait les restes d’un OVNI, mais un OVNI s’est-il vraiment écrasé à Roswell en juillet 1947 ?? Des corps extraterrestres ont-ils été découverts et autopsiés ?? Plus de 50 ans après les faits, de nouveaux témoignages apportent un nouvel éclairage sur l’affaire Roswell »

Le premier communiqué de presse de l’armée reste, à ce jour, le seul aveu officiel de l’existence d’ovnis jamais fait par les autorités américaines. « L’US Air Force n’a pas tardé à le regretter puisqu’après cette date, un filtrage des informations a été systématiquement mis en place, et ces informations ont été classées (ultra top secret), comme le mentionne une lettre du sénateur Barry Goldwater ».

Le crash de Roswell : Au cours des trois jours précédant le crash de Roswell, on compte 88 observations d’ovnis dans 24 États. Dans la nuit du 2 juillet, c’est au-dessus du ranch MacBracel qu’un disque semble avoir été frappé par la foudre, dispersant une grande quantité de débris au sol. « Il a néanmoins continué sa route avant de s’écraser près de la ville de Magdalena, à plus de 250 kilomètres ».

Selon les spécialistes des ovnis, cette photo prise en 1967 montrerait un vaisseau spatial au-dessus de Zanesville, dans l’Ohio. Il s’agit du même type d’objet qui a été observé à Roswell en 1947.

MacBracel alerte tardivement le shérif de sa découverte, qui se rend sur les lieux. Il rapportera avoir vu de nombreux débris, une zone noircie et 4 corps étranges. Il alerte alors la base militaire la plus proche. Ce n’est que le 6 juillet que l’officier de renseignement de la base de Roswell, le major Jesse A. Marcel, et l’agent de contre-espionnage Cavitt, se rendent sur les lieux.

Ils découvrent un très grand nombre de fragments légers, rigides et extrêmement résistants. Certains portent des symboles indéchiffrables. Il y a aussi un morceau plus gros que les autres, presque circulaire, et d’environ 3 mètres de diamètre.

Major Jesse A. Marcel, une partie des débris fut expédiée le jour même à Washington, via la base de Fort Worth, au Texas. Le destinataire était le général McMullen.

Le 8 juillet, l’armée publia un communiqué affirmant avoir récupéré un OVNI. Le communiqué ne mentionnait pas les corps que le shérif prétendait avoir vus. « Trois heures après cette première déclaration, le général Ramey publia un rectificatif affirmant que les débris étaient ceux d’un ballon météo équipé d’un réflecteur radar d’un modèle courant. (On se demande comment un officier de l’armée de l’air a pu confondre un simple ballon météo avec un vaisseau spatial) ».

Un ballon Mogul modèle 1948 Ce même jour de 1947, un avion arrive à Roswell en provenance de Washington avec une équipe chargée de superviser la récupération des débris.

Le 9 juillet, accompagné de militaires, Farmer McBracel donne une conférence de presse. Lui aussi revient sur sa déclaration initiale et affirme qu’il s’agissait d’un ballon météo. Il n’y a plus d’OVNI ni de corps.

Ballon Mogul, modèle 1947 L’armée de l’air s’est encore contredite avec deux rapports publiés dans les années 1990 dont “The Roswell Report” paru en 1994.

Une version officielle affirme que l’armée de l’air a effectué des tests d’impact en utilisant des mannequins pouvant ressembler à de petits cadavres. Le problème est que ces mannequins mesurent 1,80 m et pèsent 85 kg pour simuler des pilotes.

Les marionnettes typiques utilisées par l’armée, une autre version, toujours officielle, prétend que l’armée travaillait sur un projet top secret appelé (Mogu 1), qui consistait à surveiller les essais nucléaires soviétiques en lançant des ballons équipés de matériel acoustique.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’armée américaine a eu bien du mal depuis 50 ans à concocter une version unique et convaincante. Et enfin, si l’affaire Roswell est devenue un mythe, on le doit à cette même armée si soucieuse d’apporter des preuves, mais qui refuse en revanche de fournir les rapports classés top secret sur cette affaire.

 

Des cadavres extraterrestres : Un témoin, l’ingénieur Grady Barnett, qui résidait à Roswell au moment des faits, relancera l’affaire. Il affirme avoir découvert, le 3 juillet, un disque de 8 à 10 mètres de diamètre, ainsi que quatre cadavres. « Rejoint par des membres d’une équipe de recherche archéologique de l’Université de Pennsylvanie, il est empêché de poursuivre ses recherches par des militaires qui encerclent la zone ».

Il confie à son ami, Vern Maltais, ce qu’il a vu ce jour-là : En revenant d’une de ses inspections, il s’est retrouvé face à un disque ovale qui venait de s’écraser. À côté, quatre créatures gisaient au sol, vêtues de combinaisons grises une pièce. « On notera que le nombre de cadavres coïncide avec le témoignage du shérif. Cependant, le témoignage de ce dernier diffère légèrement. (Ils avaient de grosses têtes. Les vêtements qu’ils portaient ressemblaient à de la soie ; l’un d’eux était encore vivant) ».

Si la soucoupe volante était presque intacte, pourquoi y avait-il autant de débris dans le champ ?? Selon des témoins, ils étaient répartis sur une zone d’un kilomètre de long et de 70 à 100 mètres de large. Certains experts du dossier ont suggéré qu’il n’y avait pas un, mais deux engins. L’un des engins aurait été pulvérisé lors du crash.

Il existe deux autres témoignages de la présence de corps : témoignage indirect de Glenn Dennis. En 1947, Glenn Dennis travaillait dans la maison funéraire. Il servait également comme ambulancier. Alors qu’il transportait des pilotes blessés de la base de Roswell à l’hôpital, il a vu beaucoup de débris dans les jeeps militaires. Il a d’abord pensé qu’il y avait eu un crash d’avion, mais il a été surpris par la réaction de la police militaire. Cette dernière, affirme-t-il, a menacé de le tuer s’il révélait ce qu’il venait de voir.

Glenn Dennis voyait au même moment un jeune sous-lieutenant qui travaillait à l’hôpital militaire. Voici les déclarations qu’elle lui fit ce soir-là : (Je me suis rendue dans une salle d’examen. Quand je suis entrée, il y avait deux médecins dans la salle. Ils examinaient trois corps, dont deux étaient très mutilés. C’étaient des corps étranges).

Juillet 1947, un officier météorologique montre aux médias le ballon météo et son réflecteur radar. C’est la dernière fois que Dennis voit sa petite amie. Le lendemain, lorsqu’il demande de ses nouvelles, on lui dit qu’elle a été transférée. Ils ne savent pas où, mais elle n’est plus à la base aérienne. Qu’est-il arrivé à cette femme ??

Témoignage du colonel Philip Corso

  • Corso a travaillé plusieurs années au Pentagone. C’est certainement l’un des témoins les plus influents. Dans son livre intitulé (au lendemain de Roswell) publié en 1997, il affirme avoir été responsable de l’implantation de technologies extraterrestres au sein de l’armée Américaine;
  • Cet officier faisait partie du National Security Council (d’influents conseillers du Président);
  • Corso dit également qu’à l’époque il a vu 5 caisses dans un hangar. Dans l’une des caisses, il y avait un corps qui flottait dans une substance liquide. Le corps ne faisait pas plus d’1,20 m. Il décrit l’extraterrestre ainsi :
  • La poitrine était relativement étroite. La peau avait une teinte grisâtre. La tête était grande par rapport au reste du corps.
  • Les yeux étaient légèrement obliques et recouverts d’une sorte de filament. (Il écrit également avoir eu entre les mains le rapport d’autopsie des corps retrouvés le jour du crash);
  • Il est à souligner que ce livre, bien qu’intéressant, n’apporte aucune preuve tangible à ce dossier. Bien sur, on peut se demander pourquoi un membre des services de renseignements à la retraite s’amuserait à publier un ramassis de mensonges;
  • Nous avons donc, apparemment, plusieurs personnes qui affirment, directement ou indirectement, qu’il y avait bien des corps non humains à proximité de l’engin spatial. Qu’en est-il alors du film de cette fameuse autopsie d’un extraterrestre qui a fait le tour du monde en 1995 ??

Autopsie d’un extraterrestre

  • En 1995, un film créé l’évènement dans le monde. Il s’agit de la présumée autopsie de l’un des corps qui ont été récupérés à Roswell;
  • Ce film aurait été acheté par un producteur britannique, Ray Santilli, à un ancien cameraman de l’Air Force, Jack Barnett;
  • Ce dernier aurait fait partie de l’équipe de tournage de la première explosion atomique américaine, à Trinity, le 16 juillet 1945;
  • En 1947, il aurait également filmé pour l’US Air Force les essais du Little Henry, un prototype de l’hélicoptère XH-20 de la firme McDonnell;
  • Malheureusement, après vérifications, Jack Barnett n’a jamais été mentionné dans la liste des cameramen de Trinity. Cet homme est en fait mort en 1967;
  • Les origines de ce film sont donc plus que douteuses. Cela n’a pas empêché Santilli de le vendre à plus de 20 pays en 1995;
  • À première vue, ce film sent l’arnaque et le montage. L’ extraterrestre » que l’on y voit mesure près d’ 1, 60 m et possède 6 doigts. Les témoins de 1947 en ont mentionné 4 ou 5 au maximum.

Il n’y a qu’un seul détail qui mérite réflexion. Corso pense aussi que bien que faux, ce film contient une part de vérité. En effet, dans le film, on voit l’un des médecins prélever une sorte de paupière. Or, celle-ci (paupière) selon les rapports d’autopsie qui auraient été effectués en 1947 était un capteur de lumière qui permettait aux créatures de voir dans le Noir.

Ce détail n’a bien sûr jamais été révélé à personne.

  • Depuis 1995, Santilli n’a jamais voulu fournir pour analyse des portions du film original ce qui ne plaide pas en sa faveur;
  • Les copies ne permettent aucune analyse concluante. Plusieurs dizaines de personnes sont probablement impliquées dans la réalisation de ce film. Officiellement et de toute évidence d’ailleurs, ce film est un faux;
  • Peut-être que parmi elles, certaines ont réellement été témoins de quelque chose ce qui expliquerait certains détails troublants. Quoi qu’il en soit, aucune d’elles ne s’est à ce jour fait connaître.

Occupants des engins spatiaux et étrange matériau.

L’enquête la plus sérieuse qui ait été menée sur l’affaire Roswell vient du Dr Jean Sider et de Leonard Stringfield. Le portrait-robot suivant est basé sur les témoignages du Dr Wiesberg, de Nicolas von Poppen, spécialiste de l’analyse photographique des métaux, engagé par l’armée pour prendre des photos du vaisseau écrasé, et du sergent Melvin E. Brown, l’un des membres de l’équipe chargée de récupérer les restes de l’épave.

Il n’existe que des témoignages fragmentaires des médecins qui auraient autopsié les occupants du disque. Leur recoupement, effectué entre autres par le chercheur Leonard Stringfield, donne le portrait suivant :

  • Taille entre 1,20 et, 1,30 m;
  • Tête chauve;
  • Tête proportionnellement plus grosse que chez l’homme;
  • Grands yeux écartés et un peu bridés;
  • Pas de lobes d’oreilles autour de l’orifice auditif;
  • Nez pratiquement inexistant;
  • Bouche réduite à une simple fente;
  • Jambes et bras très fins;
  • Mains à 4 ou 5 doigts;
  • Légère palmure entre les doigts;
  • Peau rude et grisâtre;
  • Sang de type inconnu.

Portrait robot des extraterrestres De même, au cours de leur enquête, ils ont pu recueillir des témoignages de chercheurs ayant travaillé sur les débris récupérés. La composition des débris n’a jamais été identifiée. Il était impossible de découper cette tôle, ni d’y faire une entaille, ni de la brûler.

Pour ces deux hommes qui ont mené une enquête et interrogé de nombreux témoins, il s’est sans doute passé quelque chose d’important et de complètement inhabituel au Nouveau-Mexique. Quelque chose de si déterminant que c’est à la suite de cette affaire qu’il a été décidé de classer tous les cas attestés d’OVNI en (ultra top secret).

D’étranges hiéroglyphes

  • Plusieurs témoins de 1947 ont affirmé que certains débris comportaient d’étranges inscriptions. Les témoignages directs sont cependant intervenus qu’en 1978. Il s’agit notamment du témoignage du fils du major Jesse Marcel;
  • En effet, en 1947, le major avait ramené chez lui quelques débris pour les montrer à sa femme et à son fils avant de les ramener à la base;
  • En 1978, son fils, Jesse Marcel Jr, a fait d’étonnantes révélations : Ce qui différenciait les pièces, c’était une série d’inscriptions. La poutre en forme de (I) comportait une sorte d’écriture. Cela ressemblait à des symboles et formes géométriques.

Reconstruction des inscriptions Ces inscriptions ont attiré l’attention d’un grand nombre de chercheurs. Les efforts pour tenter de les déchiffrer ont rencontré des résultats mitigés selon les rapports des enquêteurs.

  • Une source amérindienne les traduit par les guerrières sont prêtes. Une autre traduction d’origine méditerranéenne rapproche les symboles du grec ancien et cela se traduirait par le mot (liberté);
  • Difficile de se faire une réelle idée sur ces symboles qui n’ont été analysés qu’à partir de quelques fragments. Quoi qu’il en soit, aucun ballon-sonde ne comporte sur sa structure de telles inscriptions;
  • De plus, leur descriptif ne ressemble en rien au soi-disant adhésif à fleurs retrouvé dans les débris dont parle l’armée américaine dans un de ses rapports, mais on peut également se demander pourquoi une civilisation extraterrestre utiliserait de l’ancien grec pour orner ses vaisseaux.

Roswell : OVNI ou pas ?? Comme vous pouvez le constater, l’affaire est loin d’être aussi simple que veulent le dire certains sceptiques et de nombreux médias. Il existe de nombreux autres témoignages sur cette affaire dont celui de Bond Johnson, un journaliste, appelé en juillet 1947, pour photographier les débris du crash. Il est d’ailleurs le seul représentant des médias qui a pu voir ces débris.

Il est impossible de tous les citer à moins d’écrire un livre. La question que tout le monde se pose est : Qu’est-ce qui est tombé du ciel le 2 juillet 1947 ?? Seule l’Air Force pouvait répondre à cette question et nous connaissons leurs différentes versions peu convaincantes et surtout très contradictoires.

La théorie du météorite est quant à elle totalement invraisemblable pour la simple raison que l’objet n’a laissé aucun impact du type cratère. Cependant, près de 60 ans après les évènements, de nombreuses personnes poursuivent leur enquête et continuent à chercher des réponses aux différentes questions.

  • Où sont passés les débris analysés à Wright-Patterson ??
  • Où sont les rapports d’expertise ??
  • Qui est à l’origine du film d’autopsie ??
  • L’énorme essor technologique qui s’est produit après la Seconde Guerre mondiale a-t-il un rapport direct avec le crash de Roswell??

Le nombre de témoignages importe peu en fait. La seule preuve qui pourrait nous donner la solution de cette énigme serait que nous puissions analyser publiquement les débris récupérés. « Tant qu’il n’y aura pas de nouvelles preuves de ce type, Roswell restera dans les énigmes de notre histoire ».

Et maintenant

Articles similaires

Laisser un Commentaire