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Bouddha l’Africain : la présence des Noirs/Africains en Asie et leur rôle fondateur dans l’émergence de certaines des plus brillantes civilisations d’Asie (Asiatiques), ont laissé des traces impérissables; « Ces propos de l’auteur ne laisseront personne indifférent, (les Nations Asiatiques modernes qu’elles en soient conscientes ou non, se sont purement et simplement érigées sous tutelle Noire/Africaine) »

En -525, le roi perse Cambyse envahit Takama (Égypte) et précipite la civilisation pharaonique vers sa fin. Cambyse commence à persécuter les prêtres de Men Nefer (Memphis), et l’un d’eux s’enfuit en Asie où il diffuse la spiritualité Noire/Africaine. Ce prêtre égyptien est Bouddha. Si le bouddhisme a gardé le caractère pacifique de la spiritualité Noire/Africaine, il a subi des transformations pour s’adapter à l’univers culturel asiatique. « La possibilité pour les femmes d’être prêtres, par exemple, n’a pas été retenue, alors qu’il s’agit d’un fondement essentiel de la spiritualité Kamit (Noire/Africaine) ».

Les premières représentations de Bouddha comme ici au Vietnam montrent un phénotype négroïde avec des cheveux crépus. Le savant allemand Engelbert Koempfer dans son histoire du Japon et l’écrivain MW Ward arrivent à la conclusion d’une origine égyptienne de Bouddha et ne parviennent pas à retracer sa naissance au-delà du 6ème siècle avant JC, ce qui correspond à l’invasion perse. « Cet ébranlement de la civilisation égyptienne correspond également à la naissance de religions en Asie comme le confucianisme également, ce qui laisse penser que des prêtres égyptiens fuyant les persécutions sont à l’origine de l’apparition de doctrines religieuses en Asie ».

  • La tradition Bouddhique Bouddha dharma

Le Bouddhisme Ch’am, également connu sous le nom de Buddha Dharma Dhyana, est le nom donné au bouddhisme pratiqué notamment au monastère de Shaolin. La tradition bouddhiste s’inspire, comme son nom l’indique, de la vie et des préceptes transmis par Gautama Siddharta alias Shäkyamuni alias Bouddha.

Buddha Dharma peut se traduire par la Loi de Bouddha, c’est en quelque sorte le chemin choisi par ceux qui veulent suivre l’enseignement de Bouddha.

  • Un homme nommé Bouddha

Gautama Siddhärta (624-?-544?) av. J.-C.), le Bouddha, qui signifie l’éveillé, dit Shäkymuni (le sage du Shäkya-Capable-), est le grand initiateur et la figure emblématique du mouvement bouddhique, dont l’existence même repose sur l’application et la diffusion de son enseignement.

Siddhärta, le Bouddha est donc le personnage qui a inspiré le bouddhisme. Selon la tradition bouddhique, il atteignit la Bodhi, l’illumination, par une longue méditation sous l’arbre Pipal, dit figuier des pagodes, d’où cet autre nom qui lui est aussi attribué, l’arbre de la Bodhi.

  • Concernant l’origine Négro-Africaine du Bouddha qui fait débat et qui connaît évidemment de farouches oppositions, elle nous est confirmée par le passage suivant :

Les traits qui caractérisent une figure éthiopienne soigneusement conservés dans les représentations de Bouddha, sur les statues et les bas-reliefs des grottes d’Elephanta, Salcette : ces traits sont de couleur Noire, et les cheveux crépus comme ceux des nègres ; on les regarde comme des signes qui prouvent que le réformateur du brahmanisme, le contemplatif qui abolit les sacrifices humains et même ceux où l’on immolait les animaux, le sage dont la doctrine se répandit dans tous les pays orientaux et contribua si puissamment à les civiliser, est dans l’Inde un divinité exotique importée d’Afrique.

Extrait du journal des savants datant de janvier 1822 E.O  (Nous vous recommandons de lire également : Pourquoi la conscience historique fait-elle défaut à l’homme Noir/Africain ?)

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