KONGOLISOLO
Devoir de Mémoire – Donga : l’art martial Nègre des vaillants guerriers, Surma d’Éthiopie; c’est une lutte traditionnelle Noire/Africaine d’origine éthiopienne; (l’un des principes de cette lutte est que personne ne perd, personne n’est jamais vaincu, personne n’est vainqueur); « Dans cet art Noir/Africain, seul compte le combat, la joute entre les deux combattants; (les cicatrices reçues symbolisent l’héroïsme de leur porteur et qu’il est prêt à donner sa vie pour ses proches, pour son peuple) » … (VIDÉO)
Devoir de Mémoire : Ces jeux et combats dont les règles sont l’apanage des uns au détriment des autres, (à quoi ça sert de jouer à des jeux et de participer à des combats dont les règles sont établies et dictées par ceux qui vous écrasent ?); « Ne croyez pas pouvoir gagner un combat dont les règles sont édictées et dictées par ceux qui vous exploitent et ceux qui ne jurent que par vous asservir »
Devoir de Mémoire : L’origine du (KA) Karate Afrique berceau des arts martiaux, (les origines des arts martiaux mixtes et des arts martiaux en général se trouvent dans cette déclaration de Masutatsu Oyama dans son livre Advanced Karate, publié par Japan Publications en 1969); « Les plus anciennes traces connues de techniques de combat, les rouleaux hiéroglyphiques égyptiens datent de tombes dès 4000 avant JC décrivant des combats d’entraînement militaire similaires à la boxe (Ngumi) et à la lutte (Mkazo Ncha Shikana) »

Autres croyances Africaines

Devoir de Mémoire : Chez les Himba de Namibie en Afrique australe, la date de naissance d’un enfant est fixée, non pas au moment de sa naissance, ni à celui de sa conception, mais bien avant le jour où l’on pense à l’enfant, dans l’esprit de sa mère; « Quand une femme décide qu’elle va avoir un enfant, elle s’assoit et se repose sous un arbre, et elle écoute jusqu’à ce qu’elle entende le chant de l’enfant qui veut naître »

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Devoir de Mémoire : la femme dans la société Kongolaise, dans l’ancien Kongo, le mariage n’entraîne pas la perte de son identité clanique qui reste transmissible à ses enfants, (le mariage est un Libota, un espace de procréation l’homme a la jouissance de la femme il s’est marié en échange d’une dot pour compenser son départ, mais les enfants sont issus du clan de sa femme, et l’oncle maternel peut, au nom de son pouvoir avunculaire, venir prendre un neveu pour vivre avec lui, et faire un homme de lui); « La transmission de l’héritage d’un (décédé) pose souvent des problèmes car les Kongolais modernes sont désormais coincés entre la tradition et le droit moderne qui exige qu’un (Libota) soit une famille à part entière »

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Devoir de Mémoire : Mariage Noir/Africain, le couple et le mariage en Afrique, (pour nos ancêtres, dans le couple idéal, l’épouse, c’est-à-dire la femme doit remplir trois fonctions vis-à-vis de son mari); « Elle doit être comme une mère envers son mari (elle prend soin de lui comme une mère prend soin de son enfant); Elle doit être pour lui comme une sœur (avoir des liens fraternels, des relations de sympathie avec son mari comme le type de liens existant entre frères et sœurs), et enfin; Elle doit être son amante, sa chérie (partager sa vie intime); c’est la même chose pour l’homme »

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Devoir de Mémoire : le destin est-il inexorable ? La doctrine de la (prédestination) a ruiné de nombreuses vies, beaucoup se laissent submerger par les caprices du destin parce qu’ils croient (comme un prêtre espagnol croit à la Madone) que tout ce qui leur arrive est prédestiné et qu’ils peuvent ne rien faire pour essayer de tourner la page sur ce qui les met mal à l’aise dans la vie; « Bien sûr, le but de la vie n’est pas d’éprouver le bonheur tous les jours; (le but de la vie est d’acquérir de l’expérience); la terre étant une grande école d’expériences, des hauts et des bas alternent dans la vie de chacun, sans exception, (quels que soient sa race, son sexe, sa religion, son rang, sa catégorie sociale) »

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