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Les peuples les plus avancés en développement durable : le développement durable est une conception de la croissance économique qui s’inscrit dans une perspective de long terme et qui intègre les contraintes écologiques et sociales; le rapport de la Commission mondiale sur l’environnement et le développement de l’Organisation des Nations unies, dit …

Rapport Brundtland, où cette expression est apparue pour la toute première fois l’année 1987, le « Développement durable » Y est défini comme étant « Un type de développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ». 

Cette notion s’est vite imposée à la suite de la prise conscience progressive, depuis pratiquement les années 1970, par rapport à la finitude de la terre, liée aux limites planétaires sur le long terme. Toutefois, elle fait l’objet de critiques, surtout de la part des tenants de la décroissance, mais également de la part de ceux qui y voient un frein au développement technologique ou au développement des pays pauvres. 

Ceux qui ne se limitent qu’à rechercher le gain effréné ne considèrent pas l’essence du développement durable, notamment la plupart des peuples des pays dits développés ou industrialisés. Ils exploitent les à outrance les ressources de la terre et les consomment sans penser aux générations futures. Pour eux, ce qui compte, c’est l’intérêt immédiat. À ce qui concerne les désastres écologiques ou environnementaux et le sort des générations à venir : là n’est pas leur affaire. 

Les peuples autochtones des forêts, eux, ne voient pas les choses sous cet angle. Étant de vrais gardiens de forêts et de l’environnement, ils ne cessent d’interpeller les autres peuples. À titre d’exemple, comme le fait souvent le grand Raonie de l’Amazonie : « Ne vous cassez pas la tête; lorsqu’ils auront coupé tous les arbres et que nous n’aurons plus d’oxygène, ils comprendront l’importance de ne pas couper les arbres. Leur intelligence ne s’arrête qu’au niveau de l’école. En dehors de ça, ce sont des cancres ! » 

Le grand chef amazonien Raoni était à Paris pour sensibiliser les politiques, entreprises et citoyens aux dangers de la déforestation. À retrouver sur ce lien http://lc.cx/Y6j. 

Très sensible aux questions des peuples autochtones, Nicolas Hulot avait rencontré Raoni en Amazonie pour le tournage du dernier film « Ushuaia Nature » – « Heureux, celui qui meurt après avoir planté un arbre », disent les Indiens !

Les peuples les plus avancés en développement durable

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