KONGOLISOLO
Actualité

Devoir de Mémoire : Lorsque les Grecs hellénistiques commencèrent à corrompre les langues consonantiques Bantoues, en ajoutant leurs voyelles et régulièrement un (s ou e) à des noms royaux très anciens, ainsi qu’aux mots de la philosophie Noire/Africaine, ils ne le firent pas dans une attitude désinvolte, mais d’abord dans le but de cacher et de déformer leurs véritables significations ainsi que les preuves/évidences de leurs origines

La compréhension devient évidente lorsque l’on replace l’inconnu dans son contexte naturel. Dans la langue Ba-Maa-Na (Bambara), par exemple, l’expression (Nfara) se traduit littéralement par (je suis rassasié, comblé).

Cependant, même les égyptologues européens s’accordent encore à dire que les Mdu Ntr consonantiques sont encore si difficiles à lire, que cette écriture nécessite souvent l’ajout de deux voyelles populaires, c’est-à-dire; d’ajouter un (a) ou un (e), c’est la raison pour laquelle un nom comme NFR peut alors ressembler à (Nafar, Nefar, Nafer ou Nefer).

Cependant, lorsque nous regardons ce mot en tant que locuteurs Bantous, alors non seulement nous pouvons immédiatement comprendre sa véritable signification, mais aussi savoir comment il se prononce réellement, c’est pourquoi nous savons aujourd’hui que Nfr se lit et se prononce : (Ndafara, Nafara ou Nfra) et qu’il signifie simplement (je suis très heureux).

Grecs

Articles similaires

Laisser un Commentaire