KONGOLISOLO
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Devoir de Memoire : Pour nos plus lointains ancêtres, les premiers énoncés semi-articulés de l’Homme ressemblaient étroitement à ceux du Babouin; « Primate cynocéphale cliquèteur régulièrement représenté dans les idéogrammes comme un adorateur lunaire et en même temps comme un annonceur solaire qui était symboliquement associé à Tehuti/Tutti/Thoth dont le nom imite clairement un Clic »

À cette époque, on croyait que quiconque comprenait la langue des Babouins avait accès à un savoir habituellement caché. On retrouve encore les vestiges de cette langue primordiale dans les clics des langues Khoisan et de leurs voisins Bantous qui ont également incorporé ces clics dans leur propre discours.

Les premiers discours étaient sous forme d’onomatopées et reproduisaient des sons en simulant ou en imitant le bruit particulier associé à chaque être vivant, à une force élémentaire ou à un Objet.
Nous avons par exemple le nom de la divinité Tef-nout, née de la salive de son père Atoum, contenant en son sein le mot Tef qui signifie (Cracher), et qui imite en même temps le son que l’on fait, quand on Crache.

Nous avons aussi Shu, la parèdre jumelle de Tefnout, considérée comme née de l’éternuement de son père Atoum, qui porte un nom imitant le son d’un éternuement. Et il en est de même pour presque tous les mots que nous utilisons aujourd’hui, comme par exemple pour le (Chat), prenant ici la forme de Maù ou Mahu qui est aussi la réplique sonore de (Miaoù), le son que fait le Chat lorsqu’il miaule; Etc. (Source : Gerald Massey).

énoncés

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