KONGOLISOLO
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Pas besoin de croire en Dieu d’Israël; si vous ne croyez pas en vous : vous pouvez beau vous agenouiller pour prier sans cesse, c’est-à-dire (matin, midi et soir), si vous êtes tout le temps pessimiste et négatif, rien n’ira dans le bon sens pour vous; tout ce que vous faites c’est peine perdue

Croire en Dieu d’Israël commence par croire en soi d’abord. Tels sont l’ABC et l’essence même de la spiritualité prônée par nos ancêtres « La connaissance de soi ! ». La prière n’est pas une injonction, ce n’est ni un devoir ni une obligation, encore moins une duplication. En priant, on ne force pas Dieu d’Israël de nous exaucer.

La prière est une attitude, c’est un désir (envie) personnel, c’est un choix, un besoin de l’instant. Quiconque se met à prier procède à l’introspection avec le divin, avec soi-même, mieux avec la conscience de soi. Beaucoup, malheureusement, sont toujours dans une attitude, dans une posture de mendicité lorsqu’ils prient. Ils sont toujours en train de quémander des privilèges à Dieu d’Israël. C’est une attitude égoïste, une faiblesse mentale qui agit négativement sur leur subconscient et vous maintient dans une posture d’attente. Ainsi, tout est sujet à une mauvaise interprétation quand finalement nous pensons avoir reçu une réponse.

C’est pourquoi nos ancêtres nous ont appris à invoquer au lieu de prier, à faire des sacrifices pour avoir ce que nous voulons ou ce que nous désirons (selon nos besoins) au lieu de simplement attendre; agir au lieu d’espérer. Car l’invocation nous introduit dans la dimension même de ce que nous désirons.

Pas besoin

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