Devoir de mémoire : le Maître Blanc/Occidental a toujours su diviser, pour mieux gouverner, (toute agglomération d’individus, race, peuple, tribu ou famille), représente une somme d’intérêts communs ou opposés; s’il y a des mœurs ou des coutumes à présupposer, il y a aussi des haines et des rivalités à dénouer et à utiliser à notre avantage, en les opposant les un(e)s aux autres, en comptant sur le premier pour gagner les seconds; « Voilà, la logique des génocides (au Kongo, au Rwanda, en Côte d’Ivoire, en Libye, au Mali, au Nigeria, en Centrafrique; Etc) »

Le modèle politique se superpose au modèle économique et au modèle des religions (églises) dit des réveils. C’est le paradigme cartésien (Seth ?) du compartimentage et de la division, au sein des enceintes coloniales, pour une domination permanente.

D’après le gouverneur de Madagascar, le général Joseph Gallieni, né le 24 avril 1849 à Saint-Béat (Haute-Garonne) et mort le 27 mai 1916 à Versailles, était un officier de l’armée française qui mena avec succès la pacification du Soudan français, Madagascar et l’intégration des pays Noirs/Africains (territoires de l’empire colonial français).

Après une formation à l’académie militaire de Saint-Cyr et avoir servi dans la guerre franco-allemande (1870-1871), Gallieni est envoyé en Afrique au milieu des années 1870. Capitaine en 1881, il fut capturé par les forces de l’émir Ahmadou dans la région du Haut Niger, mais en un an il obtint des privilèges exclusifs pour la France dans cette région.