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Devoir de Mémoire – Thomas Thistlewood, le scélérat qui a violé 1584 esclaves Noires/Africaines : Vous ne verrez jamais son histoire dans aucun livre officiel, car ils savent déformer l’histoire, son nom ne vous dira absolument rien et pourtant, il est l’incarnation du mal/diable, (le mal/diable avec un visage, celui de Thomas Thistlewood); « La Jamaïque du 18e siècle, la plus grande et la plus précieuse colonie britannique, a un système brutal de gestion des esclaves pour maintenir son ordre social fragile, Thistlewood a enregistré cette cruauté dans son journal, (le journal de Thistlewood) »

Thistlewood est un anglais qui décide d’aller faire fortune en Jamaïque où il y a des esclaves et devient contremaître d’une plantation, et à la fin de sa vie, on saura qu’il a violé sauvagement 1584 esclaves Noires/Africaines. Comment savons-nous que c’était 1584 ?

Thistlewood a poussé le cynisme en notant dans son journal les détails de ces viols 10 000 pages de journal dans une écriture très serrée où il note tous les détails des atrocités qu’il commet. Des atrocités qui sont pour lui un véritable système de terreur, il viole aussi ces esclaves pour leur montrer qui est le maître, il considère que ce sont des animaux et qu’il est leur maître Blanc/Occidental.

Thistlewood pousse la cruauté en punissant très sévèrement les esclaves qui lui résistent, ils sont fouettés jusqu’à ce qu’ils soient blessés sur leurs plaies (il met du sel, du jus de citron, du piment). « Ils humilient aussi ses esclaves en leur mettant des excréments dans la bouche et en les bâillonnant. Il enregistre même les performances sexuelles des esclaves qu’il viole, décrivant ainsi en détail par écrit comment les Blancs/Occidentaux traitaient leurs esclaves avec une cruauté indescriptible, un système basé sur la terreur du corps et de l’esprit des esclaves Noirs/Africains ».

Thistlewood traitait ses esclaves avec cruauté, même s’il comptait sur eux pour vivre. En plus de tenir des notes méticuleuses sur la production de sucre, Thistlewood tenait des registres détaillés de sa vie sexuelle qui expriment pleinement l’exploitation sexuelle des esclaves qui était endémique dans cette société. (Source : The True History of Africa).

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