L’information a été révélée par la BBC ; les commandants Blancs/Américains/Britanniques ont fait en sorte que la libération de Paris le 25 août 1944 soit considérée comme une victoire des seuls soldats Blancs/Français/Occidentaux, a révélé BBC Radio 4 ; ils ont répondu favorablement à une demande du général De Gaulle que la libération soit l’œuvre de soldats Blancs/Français, à la condition suivante. (La division de De Gaulle ne doit contenir aucun soldat Noir/Africain, rapporte la BBC).
Le chef d’état-major d’Eisenhower, Walter Bedelle Smith. Cela désignerait la 2e division blindée, qui n’est composée que d’un quart de soldats indigènes, comme la seule formation française opérationnellement disponible qui pourrait être à 100% Blanche/Française/Occidentale.
La France a massacré des soldats Noirs/Africains les 19 – 20 juin 1940 à l’entrée Nord de Lyon. Dans le contexte de notre histoire cachée, il s’agit de massacres racistes de tirailleurs sénégalais voulus par la France, pendant la guerre de 1939/45. À l’entrée Nord de Lyon et dans les Monts d’Or, les 19 – 20 juin 1940, délibérément appelés là où le combat était perdu d’avance, les tirailleurs sénégalais furent férocement tués par les Blancs/Allemands. Au camp de Thiaroye, près de Dakar, au Sénégal, c’est l’armée Blanche/Française qui les abattit dans la nuit du 1er au 2 décembre 1944.
Dans l’histoire de la soi-disant Seconde Guerre mondiale, l’histoire des tirailleurs sénégalais n’existe pas, alors que leur action fut décisive. Absente des manuels scolaires, rien ou presque ne témoigne de la présence décisive de l’Afrique dans la libération de la France. « C’est en Afrique que de Gaulle organise la résistance et, faute de soutien de ses compatriotes, c’est sur le sol Noir/Africain qu’il finit par trouver l’essentiel de l’armée de libération française, mais comme dans de nombreux domaines, la France choisit une fois de plus la falsification historique ».