KONGOLISOLO
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Les premiers seront les derniers : les réalisations Noires/Africaines ne relèvent pas un jeu de cache-cache; elles dépassent de loin toutes les autres réalisations qui lui sont postérieures; et, irremplaçables, elles exercent encore aujourd’hui une influence considérable sur toutes les civilisations « Nos réalisations sont connues de tout le monde, car aucun peuple ne peut prétendre s’être développé sans la créativité des Noirs/Africains; et quand nous soulignons que nous avons été les premiers, il s’agit là d’un fait vrai et non d’un complexe de supériorité »

Nous avons été les premiers à engendrer des architectures monumentales comme au Niger, en Nubie, dans la Vallée du Nil, de l’Indus, dans l’Empire d’Axoum, en Océanie; dans les Amériques et partout dans le monde antique. Nous avons été les premiers à étudier les mathématiques, l’informatique et à créer la calculatrice avec le peuple d’Ishango en République Démocratique du Congo. 

Cela permettait de compter à partir de l’un des plus anciens objets de l’histoire des « Mââthematiques » avec l’ « Os d’Ishango », la plus ancienne table de nombres premiers de l’humanité, il y a de cela 23 000 ans au Kongo ou le plus vieux calendrier « Mââthématique » du monde avec l’os d’Elombo découvert entre le Kwazulu et le Swaziland (35 000 ans) dont le système est encore utilisé aujourd’hui par les Bushmen de Namibie. Nous avons été les premiers à organiser la médecine, à créer la géométrie, l’astronomie, la loi, la politique, les coutumes de parenté (matrilinéaire), la théologie, l’art, l’écriture, la sculpture, Etc. (…). 

Nous avons été les premiers à créer les universités, les bibliothèques dont la plus célèbre est celle de « Râ-Khet ou  Rhacoste » et rebaptisée en grec Alexandrie. Et la raison pour laquelle les premiers sont devenus les derniers et que les derniers sont devenus les premiers, c’est que certains d’entre nous ont bêtement produit des mensonges de l’Occident ou de l’Orient. 

Et que nous n’avons jamais pris le temps, au cours des dernières décennies, d’examiner la possibilité évidente, que nos propres cultures contiennent à leur manière toutes les graines de la modernisation, de l’intégration, de la technologie et d’un développement économique, souverain et indépendant. Même s’il a été difficile de penser de cette manière, étant donné les « Leurres » de bénéfice de carrière que nous ont légués les Organisations militaires et politico-religieuses étrangères. Aujourd’hui, le principe de la renaissance Noire/Africaine exige de chacun de nous de réapprendre à appartenir aux peuples de nos ancêtres et non à apprendre à être des serviteurs des maîtres impérialistes internationaux.

Les premiers seront les derniers

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