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Devoir de mémoire: le criminel raciste impuni, le Sud-Africain Wouter Basson (surnommé Docteur de la Mort) restera un cas d’école dans l’histoire des génocides et des crimes racistes ! (Né en 1950, Wouter Basson, cardiologue, revendiquait très tôt un penchant pour les substances toxiques et les empoisonnements); « Recruté au milieu des années 1970 par les services secrets sud-africains, il devient chef d’une unité chargée d’éliminer, à l’aide d’armes chimiques et bactériologiques, les Noirs/Africains jugés (dangereux) en particulier, et d’une manière générale le plus grand nombre de Noirs/Africains possible »

Des fonds importants sont alloués à l’équipe de Basson qui, outre les assassinats (ciblés) et les empoisonnements, travaille à développer des maladies ciblant sélectivement les Noirs/Africains, à les rendre stériles, et à développer des poisons ou des médicaments les ciblant plus particulièrement par exemple : (méthaqualone, mandrax, ecstasy, Etc). Il a été établi que Basson avait travaillé sur le SIDA et utilisé des agents contaminés pour infecter des prostituées Noires/Africaines.

Bien sûr, ceux qui tentent d’établir que le SIDA ou d’autres maladies dévastatrices (Ebola) ont été développés dans des laboratoires racistes dans le but de décimer la population Noire/Africaine sont généralement traités au mieux comme des (conspirateurs) et, au pire, comme des fous. Basson aurait entretenu des liens avec ses homologues des services secrets Blancs/Occidentaux.

Un procès contre Basson, ouvert en octobre 1999, a abouti à un acquittement et à une amnistie, malgré 46 chefs d’accusation et 153 témoins contre lui. Bien que reconnu coupable par l’Association médicale sud-africaine (fin 2013 seulement de violation éthique), aucune sanction professionnelle n’a été appliquée à Basson !

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