Aujourd’hui encore, les Noirs/Africains ayant fui les attaques des Mongols, sont encore présents en Asie du Sud-Est, dans les îles Andaman ou encore chez les Agta des Philippines, dont l’archéologie ainsi que la génétique prouvent de façon certaine qu’ils descendent des deux premières dynasties de la Chine, en l’occurrence les XIA et les SH’AN qui étaient en grande partie composées de gens d’Afrique et de personnes de type australoïde appelées Dravidiens, Madras-indien ou Shamar.
Au fil du temps, les Noirs/Africains installés sur ce continent ont commencé à effectuer un art de combat qui s’était développé de la Corne de l’Afrique vers la Chine et que nous appelons aujourd’hui « Les arts martiaux », et vers -500 ans avant notre ère, un Noir/Africain aux cheveux crépus vivant en Inde appelé Gautama le « Grand-Noir », établira dans le monde entier sa religion, appelée Bouddhisme et enseignera les arts martiaux aux Asiatiques dont la philosophie domine aujourd’hui encore la pensée chinoise. Toutes les personnes qui ont encore des doutes se doivent de consulter les livres « Anacalypsis », de Godfroy Higgins, « Origine » de Albert Churchward, « Égypte la lumiere du Monde », de Gerald Massey, « Presence Africaine » de Runoko Rashidi ou encore « Sexe et Race » du Juge Roger.
À savoir également que beaucoup d’Africains avaient survécu en Chine jusqu’au vingtième siècle et que leur principale extermination a eu lieu sous la présidence de Mao, lors du programme de purification culturelle et que c’est d’abord en vertu de ce programme que plusieurs millions d’Africains et d’Afro-asiatiques ont été massacré entre 1951 et 1956. Alors à chaque fois que le mot chinois est prononcé, il est très important de se rappeler le rôle essentiel que les Africains ont joué avant leur tragique disparition, dans l’émergence de ce que l’on appelle aujourd’hui la civilisation chinoise. « Si une telle civilisation existe ».
Source : Études Africaines et Asiatiques, Faculté des Sciences : université des Antilles (Trinité et Tobago).